Le BDSM ne se résume pas à faire l’achat d’une paire de menottes, d’un martinet et
                de lancer des fessées à tout bout de champ, c’est un art subtil qui repose sur la
                communication et le consentement pour être sûr de respecter les limites de chacun pour
                que le plaisir ne se transforme pas en douleur et traumatisme.
                
La première chose à faire est de se familiariser avec le vocabulaire de cet univers.
                Si le shibari, la fl*gellation, la momification, le nawashi  ou encore la palette ne
                vous évoquent rien, c’est que vous n’êtes sans doute pas suffisamment renseigné sur
                le sujet pour explorer de manière approfondie le BDSM.
                
Plus vous en saurez sur le sujet, plus les risques seront limités. Un excellent
                moyen de connaître les principes fondamentaux est de se rapprocher des communautés BDSM.
                Place Libertine compte parmi ses membres, de nombreux adeptes qui peuvent partager leurs
                connaissances et expériences avec vous.
              
           
       
      
          
              
                L’univers BDSM est extrêmement vaste. Certains le pratiquent via un simple martinet,
                d’autres via la suspension avec cordes, laisses, colliers,... D’autres encore via des
                cagoules, combinaisons en latex et repoussent les limites de la douleur avec des objets
                à insérer dans l’urètre.
Le BDSM fonctionne comme le s*xe plus traditionnel, chaque
                personne a des désirs et des limites différentes. Par exemple, certaines femmes aiment
                se faire s*domiser, d’autres non. Certaines aiment le s*xe avec plusieurs personnes à
                la fois, d’autres non. Certaines aiment se faire éjac*ler ou ur*ner dessus, d’autres non…
                
Il faut réfléchir à vos désirs. Via une simple petite séance de méditation,
                vous pouvez tenter de répondre à plusieurs questions : quels sont mes fantasmes ?
                Quelles activités suscitent ma curiosité ?
                Quelles limites je ne suis pas prêt(e) à franchir ?
                
Pour vous aider à y voir plus clair, il existe des tests en ligne. Composés
                de nombreuses questions, ils définissent votre profil BDSM : êtes vous plutôt soumis(e)
                 ou dominant(e), plutôt suspendu ou momification, plutôt partenaire unique ou part*uze ?
                
Ces réflexions vous aideront à y voir plus clair et à pouvoir communiquer vos
                attentes à votre partenaire.
              
               
         
        
          
            
             
             
              
                Lors d’un test BDSM, si vous souhaitez explorer les différents rôles, vous
                allez passer par l’étape de soumission. Lorsque vous êtes la personne dominée, en
                fonction des accessoires et du scénario envisagé, vous allez potentiellement n’être
                plus du tout libre de vos mouvements et vous retrouver dans une situation d’humiliation.
                Il est donc conseillé de tester le BDSM, au moins les premières fois avec un partenaire
                de confiance auprès duquel vous savez qu’il ne risque pas d’abuser de vous et à qui vous
                pouvez vous en remettre sans avoir peur de dérives.
                
La communication avec le partenaire avant de démarrer la mise en place du scénario
                et l’acte physique est une étape cruciale. Il faut discuter ouvertement et sans tabou du désir,
                des limites et attentes de chacun.
L’objectif est ici de s’assurer que l’on définisse des
                règles de consentement et de respect mutuel. Attention car toute manipulation sexuelle
                non consentie peut s’apparenter à un vi*l.
                
Pour trouver un partenaire de confiance, vous pouvez soit vous essayer au BDSM
                avec votre partenaire habituel, avec quelqu’un que vous connaissez parfaitement ou bien
                vous en remettre aux avis sur le web.
Chez Place Libertine, dès qu’un membre a un comportement
                déplacé, il est écarté de la communauté, vous êtes ainsi en constante bonne compagnie.
              
         
           
        
          
              
                Imaginez que vous souhaitiez débuter la peinture demain. Vous n’allez pas vous improviser
                Van Gogh du jour au lendemain, il va vous falloir des heures et des heures de travail
                et à force de persévérance, d’abnégation, peut-être que vous arriverez à un résultat
                qui s’en rapproche.
C’est la même chose pour la pratique du BDSM, vous n’allez pas du
                jour au lendemain vous mettre au shibari avec des corsages sophistiqués. Avant ça, il
                va falloir vous informer et vous sensibiliser à la pratique, vous mettre en quête du
                bon matériel, tester le BDSM avec des expériences plus simples et à force d’expérience
                vous y arriverez !
                
Commencez donc par les choses les plus simples ! Un bandeau pour les yeux,
                des menottes rembourrées pour les poignets, des masques et tenues simples pour explorer
                les jeux de rôle. Vous allez ainsi petit à petit explorer de nouvelles sensations, vous
                familiarisez avec la pratique, mieux connaître vos désirs et limites, vous construire
                une confiance avec différents partenaires, etc…
Vous aurez par la suite tout le loisir,
                après entrainement de soumettre votre corps à des défis physiques ou psychologiques
                plus poussés !
                
L’objectif sera ensuite d’augmenter graduellement vos expériences face à la douleur.
                Exemple, si vos tétons n’ont pas l’habitude d’être malmenés, vous allez pouvoir commencer
                par des morsures légères sans forcément utiliser d’accessoires.
Par la suite, vous pourrez
                tester la bougie en y déversant de la cire chaude dessus. Puis viendra le moment de mettre
                vos tétons à plus rude épreuve avec des électroaimants en leur envoyant des chocs ou bien
                avec des pinces, d’y suspendre des petits poids.
                
C’est la même processus pour les différentes pratiques qui constituent l’univers BDSM.
                Imaginons par exemple que vous souhaitiez tester le BDSM *nal. Sans doute en avez-vous déjà
                entendu parler ou visionné quelques extraits par l’intermédiaire de lieux bien connus du
                grand public comme la fistinière.
Vous n’allez pas vous improviser expert de la s*domie du
                jour au lendemain. Il va falloir partir en quête de lubrifiant, de guide de la préparation *nale,
                de petit plug ou g*de, avant de passer au pénis puis si l’envie vous en dit, de tester des accessoires 
                plus conséquents issus de l’univers BDSM.
                
N’oubliez pas, Rome ne s’est pas construite en un jour, une expérience aguerrie face au BDSM, non plus !
            
         
         
        
          
              
                Dans le feu de l’action, on peut être tenté de repousser ses limites tant et plus.
                Soit par curiosité ou satisfaction personnelle, soit pour faire plaisir à son partenaire.
                
Lors d’une s*domie par exemple, si une douleur conséquente se fait ressentir mais que
                vous voyez votre partenaire n’est pas loin de la jouissance, ne vous retenez pas de
                dire que c’est douloureux et que vous souhaitez arrêter.
                
Premièrement, qui sait réellement
                quand va survenir l’orgasme de votre partenaire, s’il ne va pas subitement faire un
                déni d’orgasme ou autre ? Deuxièmement, vous risquez de vous fermer comme une huître
                et cela ne rendra la chose que plus douloureuse.
Prenons l’exemple des sportifs,
                certains tennismans qui ne veulent pas arrêter une compétition sont gavés d’infiltrations
                musculaires pour supporter la douleur. Déjà blessés, ils continuent de solliciter leurs
                corps qui peut en garder des séquelles conséquentes allant quelques années plus tard
                jusqu’à l’amputation.
                
N’attendez pas d’avoir trop mal avant de sonner le ola, comme on dit, il vaut
                mieux prévenir que guérir ! C’est dans cette optique que la communication en amont pour
                tester le BDSM est extrêmement importante. Les petits signaux, gestes y sont détaillés
                pour prévenir lorsqu’il est souhaitable de mettre fin à certaines expériences.
          
         
       
      
          
              
                L’expérience BDSM fait naître une grande connexion entre les différents partenaires
                car en fonction des scénarios on laisse la totale maîtrise de son corps. Difficile
                donc d’assimiler un test BDSM à un simple plan d'un soir à qui l’on va dire au revoir et
                filer en coup de vent dès la fin de sa petite affaire.
                
L’après-care fait partie intégrante d’une partie BDSM. C’est le moment
                où l’on débriefe avec son partenaire. On y évoque l’expérience, ce qui vous a plu,
                déplu, les choses à changer pour la prochaine fois, la marge de progression face à la
                douleur, les prochains scénarios pouvant être abordés.
                
L’objectif est que chacun puisse s’exprimer librement sur son ressenti afin
                de rendre encore meilleure la prochaine expérience partagée. Si l’on fait
                une analogie, vous pouvez assimiler cela dans le sport à un mélange de débrief fait
                par les commentateurs pour analyser ce qui a été ou non, et de troisième mi-temps
                partagée entre les joueurs pour prolonger le moment de complicité.
          
         
       
      
          
              
                D’une expérience désastreuse qui va vous laisser des séquelles à une expérience pleinement
                réussie avec une jouissance extrême, il n’y a souvent qu’un pas dans le test BDSM.
                Tout tient à placer la sécurité et le consentement mutuel au centre de l’expérience !
                
Comme le dit l’adage, ne fais jamais à autrui ce que tu ne veux pas que l’on
                te fasse. C’est particulièrement vrai en BDSM où la limite et les désirs de chacun peuvent
                être totalement différents d’une personne à une autre. Il est ainsi primordial, tout au
                long de l’acte de se rappeler qu’au moindre signal d’alerte, il faut cesser toute activité.
                
Si vous avez bien compris ce principe et que vous vous êtes suffisamment renseignés
                sur les pratiques que vous souhaitez tester alors il n’y a pas de raison que vous
                n’atteigniez pas le Nirvana !
                
Vous voulez tester le BDSM mais ne savez pas par quel chemin vous y prendre ? Rien de plus simple, il vous suffit de vous inscrire sur notre site libertin. Vous renseignez vos envies, fantasmes s*xuels dans votre profil. Les membres de notre communauté s’occupent du reste.
Ils vous contactent, vous proposent des plans BDSM près de chez vous et vous mettent à l’aise pour vous initier dans cette nouvelle aventure.