Première chose à savoir, vous n’avez pas forcément besoin d’un partenaire pour pratiquer le BDSM et prendre du plaisir. Vous pouvez bien vous toucher et prendre du plaisir seul, il en va de même avec cet art !
S’il n’est pas forcément très malin de tenter de se menotter soi-même en étant seul et de se retrouver dans une situation délicate, beaucoup d’autres expériences peuvent être tentées. Par exemple, vous n’avez pas besoin d’être accompagné pour :
- vous insérer un plug an*al ou autres accessoires pha*lliques de différentes tailles, soit dans l’a*nus, soit dans le va*gin si vous êtes une femme. En fonction de la texture et de la grosseur de l’objet, il peut procurer différentes douleurs synonymes d’excitation et de plaisir.
- vous infliger une douleur aux zones érogènes comme les tétons. Vous pouvez utiliser les plus simples accessoires tels que des pinces à linges ou bien opter pour l’achat de matériel plus sophistiqué comme des chaises de tortu*res avec armature.
L’étirement des testic*les si vous êtes un homme. Vous placez des poids accrochés à vos testic*les pour être stimulé. C’était notamment la technique utilisée par Jonathan Tucker dans le film 100 girls pour faire agrandir son p*nis (à ne pas reproduire chez soi !...)
- fou*tter ou réaliser des muti*lations légères à base de griffures. Certains vont jusqu’à utiliser du matériel avancé comme des chaises électro d’auto bondage. Attention à bien lire les notices et à suffisamment se renseigner en amont pour éviter toute déconvenue.
Le pony-play ou pet-play
C’est une pratique BDSM dans laquelle l’un des partenaires est représenté par le maître qui donne des ordres alors que l’autre joue le rôle d’un animal et doit obéir.
L’animal le plus représenté est le cheval sur lequel on va monter et lui fou*etter les f*esses pour le faire avancer.
D’autres animaux sont également très en vogue comme le chien, le chat, le cochon où le vocabulaire autour de ces animaux évoquent régulièrement le s*xe. Le partenaire soumis agit alors comme l’animal en mangeant par terre, en étant traîné en laisse ou encore en léchant les pieds.
Les jeux de régression
Les jeux de régression visent à pénaliser l’un des partenaires en lui retirant des aptitudes dont il dispose normalement. Par exemple, ils sont souvent utilisés pour des mises en situation d’in**cest avec un partenaire représentant un parent et l’autre son enfant.
Le soumis va jouer le rôle d’une jeune personne qui va faire ses besoins dans une couche et se faire dessus. Le plaisir de ces jeux réside dans la mise en situation et l’humiliation du partenaire.
Le cucko*lding ou candaulisme
Nous avons vu qu’il n’était pas forcément nécessaire d’être deux pour s’adonner aux plaisirs du BDSM. À contrario, il est également possible d’être plus de deux.
Dans les donjons BDSM, il est courant de participer à des scénarios ou des actes de groupe. Le cucko*lding ou candaulisme peut être catégorisée dans les pratiques BDSM dans le sens où un partenaire s’envoie en l’air avec quelqu’un pendant que l’autre regarde et peut subir cela comme une humiliation.
Les jeux de service ou de hiérarchie
Le dominant joue le rôle de maître ou de supérieur hiérarchique alors que le soumis est sous ses ordres. On peut alors imaginer une maîtresse d’école et un élève soumis, un patron et sa secrétaire coquine, un seigneur et son valet,...
Bien évidemment les clichés peuvent être cassés et la femme prendre le dessus. La communauté BDSM apprécie particulièrement les terrains de jeux pour braver les interdits, par exemple une mise en situation entre un prêtre et une nonne.
Les visites et examens médicaux
C’est souvent comme ça que débute les premiers jeux coquins, par des attouchements en jouant au docteur… Qui n’a jamais rêvé d’être gynécologue et de s’amuser avec une patiente ?
Durant ce genre de jeux : auscultation, fouille corporel ou examen gynécologique en tous genres sont au programme.
Simulation de v**iol ou de k*dnapping
Les grandes industries pour adultes l’affirment, ce genre de scénarios est parmi les plus recherchés sur les sites de vidéos en ligne. Formellement interdits et gravement punis par la loi, il n’en reste pas moins que ce genre de pratiques peut être fantasmé ou scénarisé de manière consentante.
Le Queening ou Facesitting
C’est un jeu érotique durant lequel un partenaire est généralement allongé alors que l’autre vient le dominer en mettant ses parties génitales ou son an*us sur son visage.
Généralement ligoté, le soumis n’a d’autre choix que de réaliser un cunn*lingus, anul*ngus ou gorge pr*fonde autant de temps que le dominant l’a décidé sous peine d’être puni. Le plaisir est né du fait de l’humiliation et de l’asphyxie temporaire.
Le Bondage
Le bondage est la pratique la plus connue du BDSM, c’est d’ailleurs celle qui caractérise le “B” de l’acronyme. Elle vise à restreindre volontairement les mouvements d’une personne à l’aide de liens, de cordes, de menottes et autres accessoires.
Cela peut aller jusqu’à la momification où le partenaire soumis est complètement scellé avec les bras étendus le long du corps et ne peut rien faire à part se servir de sa bouche pour donner un plaisir oral.
Le déni d’orgasme
Vous l’avez sans doute déjà expérimenté en solo. C’est ce moment court et subtil où vous sentez l’orgasme arriver mais où vous avez encore une chance de le stopper pour faire prolonger le plaisir.
Si l’on repousse plusieurs fois et longtemps l’orgasme, la sensation peut devenir insoutenable. C’est d’ailleurs pour cela que l’on évoque parfois les “co*illes bleues” chez les hommes.
Lorsqu’un rapport prolongé ne se termine pas par une éja*culation et jouissance, les t*sticules ayant été fortement stimulées mais ne dégageant pas le sp**erme, cela peut faire très mal.
La flag*ellation
Souvent plus puissante que la fessée, on l'opère avec un fouet ou un martinet. Il faut se montrer prudent dans son maniement de manière à ne pas heurter la personne soumise et à ne pas lui laisser des marques indésirables.
Les jeux de bougie
Les bougies peuvent être soit utilisées pour se brûler de manière superficielle, soit de manière indirecte par l’écoulement de la cire chaude sur les zones les plus érogènes.
On trouve maintenant des bougies parfumées pour une meilleure immersion des sens ou encore avec de la cire comestible pour ajouter plaisir gustatif et mordillage sur le corps du soumis.
Le BDSM peut également se traduire par des faits et gestes très simples comme l’emploi de certaines positions précises, le chantage, des insultes et langages grossiers, de l’exhibition ou des jeux à base de piercings.